À Lisieux, la guerre des majorettes fait rage
À Lisieux, la guerre des majorettes fait rage
Les bâtons de majorettes ne volent pas toujours très haut et frappent parfois dur. Surtout à Lisieux où les deux clubs, les Bâtons étoilés et les majorettes, se dénigrent ostensiblement à l'approche du défilé de dimanche. Ce rendez-vous organisé par les secondes, va réunir deux cents majorettes venues de sept clubs de Normandie et de région parisienne.
Mais les Bâtons étoilés refusent d'être de la parade. « Elles nous ont invitées, c'est vrai, mais on préfère s'abstenir plutôt que de se faire casser», a affirmé la présidente des Bâtons étoilés. « Quand elles nous voient, elles nous font des grimaces», avouent les majorettes des deux camps. Entre les présidentes, les crosses ont remplacé les bâtons. Une vieille rivalité née d'une scission douloureuse en 2002. L'association qui réunit désormais trente jeunes filles et jeunes femmes âgées de 6 à... 40 ans (« On comptait même un garçon l'an dernier») a maintenant dépassé sa rivale qui ne compte plus que quatorze éléments.
Mais surtout, pour fêter leurs cinq ans, les majorettes de Lisieux ont commis le crime de lèse-majesté de mettre sur pied un défilé et un concours à l'instar de celui qu'organisent, tous les ans, les Bâtons étoilés. Même programme, même parcours et mêmes invitées. « Elles nous ont copiées », s'indigne la présidente rivale qui annonce le maintien de sa manifestation pour le 14 octobre. Les majorettes, c'est parfois du sport...
Les bâtons de majorettes ne volent pas toujours très haut et frappent parfois dur. Surtout à Lisieux où les deux clubs, les Bâtons étoilés et les majorettes, se dénigrent ostensiblement à l'approche du défilé de dimanche. Ce rendez-vous organisé par les secondes, va réunir deux cents majorettes venues de sept clubs de Normandie et de région parisienne.
Mais les Bâtons étoilés refusent d'être de la parade. « Elles nous ont invitées, c'est vrai, mais on préfère s'abstenir plutôt que de se faire casser», a affirmé la présidente des Bâtons étoilés. « Quand elles nous voient, elles nous font des grimaces», avouent les majorettes des deux camps. Entre les présidentes, les crosses ont remplacé les bâtons. Une vieille rivalité née d'une scission douloureuse en 2002. L'association qui réunit désormais trente jeunes filles et jeunes femmes âgées de 6 à... 40 ans (« On comptait même un garçon l'an dernier») a maintenant dépassé sa rivale qui ne compte plus que quatorze éléments.
Mais surtout, pour fêter leurs cinq ans, les majorettes de Lisieux ont commis le crime de lèse-majesté de mettre sur pied un défilé et un concours à l'instar de celui qu'organisent, tous les ans, les Bâtons étoilés. Même programme, même parcours et mêmes invitées. « Elles nous ont copiées », s'indigne la présidente rivale qui annonce le maintien de sa manifestation pour le 14 octobre. Les majorettes, c'est parfois du sport...
Libellés : Copie, Guerre, Lisieux, Majorettes, Plagiat
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